Bonjour, je suis ravie de vous rencontrer, et ravie de vous trouver ici !
Si vous n’avez pas vu la « bio » officielle sur le site web, et même si vous l’avez vue, ce premier article de journal est là pour vous dire « Bonjour, merci d’être passé(e), et bienvenue ! »
Alors, qu’est-ce que j’ai l’intention de faire ici ? Pourquoi écrire un journal ?
Je le vois comme un espace créatif, pour noter des idées et des pensées liées à la communication stratégique, à la prise de parole en public, au développement personnel et au coaching… et au pitching, aux idées, à la narration, aux mots… tout ce que je fais et tout ce qui fait mon travail, tout ce que j’aide à mieux faire ou à mieux comprendre.
Vous avez peut-être entendu dire : « Ce n’est pas ce que tu dis, c’est la façon dont tu le dis… » Je ne pense pas que ce soit vrai.
Un bon contenu, des idées originales et des informations claires sont tout aussi importants que la manière de les exprimer. Ce qui est vrai, en revanche, c’est que de nombreuses bonnes idées ont été sous-évaluées, voire perdues, à cause d’une mauvaise communication.
Ce que vous dites est important, mais la manière de le dire détermine si l’on s’en souviendra.
Pour la petite histoire, et pour être tout à fait transparente, j’ai réécrit ce post environ 5 fois. J’ai déjà écrit plusieurs nouveaux posts, sur d’autres sujets, qui viendront après celui-ci. Mais ce premier écrit ! Il me glisse entre les doigts à chaque fois que je m’assois et que je me mets à mon clavier. Il sonne trop formel, ou… eh bien tout simplement, trop bizarre, et ne me convient pas tout à fait. Mais je ne peux pas dire que cela me surprenne ! Ce sont ces premiers mots qui sont les plus importants. Les enjeux sont décisifs, la pression est là, et on n’est pas sûr que les mots vont sortir comme on le souhaite. C’est ce que nous ressentons quand nous nous présentons, ou quand nous démarrons une présentation importante, quand nous avançons une idée ou quand nous faisons valoir nos compétences dans le cadre d’un entretien d’embauche. Mais nous y reviendrons plus tard.
Voyons où cela nous mène…